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Vous êtes ici : Accueil » Jeunes en errance » Les Actes des Rencontres annuelles du réseau
Une des faces visibles de l’existence de ce réseau est l’organisation annuelle d’une rencontre nationale ouverte à tous les intervenants au travail avec des publics en rupture sociale revendiquée. Ces rencontres sont préparées et conduites par le « groupe de pilotage » du réseau national constitué de professionnels et de chercheurs. Elles sont placées sous la responsabilité des CEMEA, et sont organisées de façon itinérante dans des villes ou des régions où interviennent des correspondants du réseau national. Leur déroulement est intégralement financé par le ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement par convention vec les CEMEA.
Ces rencontres nationales qui existent de fait depuis 1995, alors centrées sur les interventions festivalières, existent de façon rigoureuse, formalisée, articulée avec les préoccupations professionnelles des correspondants du réseau depuis 1998.
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La rencontre 2013 était accueillie par l’Institut de Formation aux Métiers Educatifs (IFME) de Nîmes, et était organisée avec l’appui de deux associations locales engagées dans le réseau national, intervenant dans l’urgence sociale : La Clède à Alès, et L’Espélido à Nîmes.
Elle a réuni quatre-vingt dix participants, la plupart professionnels en poste, accompagnés d’étudiantsstagiaires en cours de formation. Y ont participé également, en permanence, 30 étudiants de l’IFME. 55 structures différentes étaient représentées : 20 faisant du travail de rue (prévention spécialisée, addictions, médiation sociale, expansion d’accueils de jour…), 20 de l’accueil de jour, 4 de l’hébergement, 2 centrées sur les addictions, 3 équipes psychiatrie-précarité,…
Le réseau national « Jeunes en errance », issu des actions expérimentales conduites auprès des jeunes en errance dans les festivals, par les CEMÉA à partir de 1991, est né « officiellement » fin 1996 avec l’intérêt qu’y a apporté Xavier Emmanuelli, Secrétaire d’Etat à l’action humanitaire d’urgence, et avec le soutien financier alors apporté par le ministère des Affaires Sociales. Une des visibilités de l’existence de ce réseau est l’organisation annuelle d’une rencontre nationale ouverte à tous les intervenants au travail avec des publics en rupture sociale revendiquée. Ces rencontres, placées sous la responsabilité des CEMÉA, sont organisées de façon itinérante dans des villes, ou des sites, où interviennent des structures identifiées au sein du réseau national. Leur organisation est financée par l’Etat (Direction Générale de la Cohésion Sociale – DGCS) dans le cadre des conventions pour l’animation du réseau national, passées avec les CEMÉA Ces rencontres nationales qui, existent de fait depuis 1995, alors centrées sur les interventions festivalières, existent depuis 1998 de façon formalisée, articulée avec les préoccupations professionnelles des correspondants du réseau.
La rencontre 2011 était organisée à Limoges, avec l’aide de la ville de Limoges et de l’Association de
Réinsertion Sociale du Limousin (ARSL).
Elle a réuni 85 participants représentant 55 équipes, la plupart professionnels en poste, accompagnés de
quelques étudiants-stagiaires en cours de formation au travail social, ou engagés dans des cursus
universitaires. Parmi les participants : 10 CCAS et mairies, 14 équipes de rue, 10 accueils de jour, 8 CHRS et
divers hébergements, 1 Mission Locale, 6 structures centrées sur la santé (addictions, soins,…)…
Deux thèmes de travail avaient été fixés à partir de rencontres d’équipes, d’échanges avec des
professionnels, et en lien avec des expérimentations en cours dans le réseau, et avec l’actualité
professionnelle :
D’autre part, la rencontre a été ouverte par un double état des lieux : par Myriam Calderon, directrice
générale de l’Association de Réinsertion Sociale du Limousin et présidente de la FNARS Limousin, et par
François Chobeaux au titre du réseau national « Jeunes en errance ».
Enfin, une conférence-débat organisée en centre-ville en fin d’après-midi, le jeudi 24 novembre, a réuni 140
personnes, participants à la rencontre des professionnels locaux, sur le thème « Le travail, Non merci ! »
avec Camille Dorival, journaliste à Alternatives Economiques et auteur du livre portant ce titre.
La rencontre 2010 était accueillie par l’IRTS de Br
etagne sur son site de Lorient, et était organisée
avec
l’appui de la ville de Lorient.
Elle a réuni soixante-dix participants venus de str
uctures du réseau, la plupart professionnels en pos
te,
accompagnés de quelques étudiants-stagiaires en cou
rs de formation au travail social. Y ont participé
également, en permanence, des étudiants et une form
atrice de l’IRTS. Près de 50 structures différentes
étaient représentées : 20 faisant du travail de rue
(prévention spécialisée, addictions, médiation soc
iale,
expansion d’accueils de jour...), 20 de l’accueil de
jour, 2 de l’hébergement, 2 centrées sur les addict
ions, 1
en pédopsychiatrie...
Trois thèmes de travail avaient été fixés à Bordeau
x à la fin des rencontres nationales Errance en nov
embre
2009, et trois équipes s’étaient engagées à porter
une attention particulière aux questions posées de
façon à
préparer des échanges collectifs en 2010 :
La rencontre 2008 était organisée en partenariat avec l’ITSRA (Institut de travail social de la région Auvergne), accueillie dans ses locaux, en appui sur les formateurs engagés dans els travaux du réseau. Elle a réuni cinquante quatre participants venus de structures du réseaux, la plupart professionnels en poste accompagnés de quelques étudiants-stagiaires en cours de formation au travail social. Y ont participé également, en permanence, dix étudiants de l’ITSRA.
L’invitation proposait de se centrer sur « la transition, l’entre-deux entre la zone et la sédentarité-normalité, et sur les façons de travailler dans cet espace. Qu’est-ce qui se fait, se teste, s’invente, dans ces accompagnements ? S’agit-il avec certains de mobilisation ou de remobilisation avec une finalité explicite sur la normalité ? S’agit-il avec d’autres d’accompagnement de dynamiques marginales ? Comment cela est-il discuté avec les personnes ?
La rencontre 2007 a réuni quarante cinq participants. Son organisation a du être rapidement adaptée aux absences d’intervenants et de participants et aux difficultés de transport liées à la grève nationale SNCF. En particulier, l’introduction théorique que devait y faire Olivier Douville a été annulée.
L’invitation proposait un thème central de travail : « Quelle prise en compte de la dimension « psy » par les intervenants de terrain ? Ecoute, soutien, souffrance… Avec quelles compétences, quelles limites, quels réseaux ? »
Le projet de rencontre 2006
La rencontre 2006 a réuni cinquante participants.
L’invitation proposait un thème central de travail, décliné selon deux publics : « Les complémentarités et les partenariats entre les structures de terrain et avec les programmes publics (Fond d’Aide aux Jeunes, Plan départemental d’accès au logement des plus démunis…). État des pratiques, réussites, soucis… Les échanges pourront s’engager à partir de deux entrées, au choix de chacun et travaillant en parallèle : les « zonards », jeunes et nouveaux ; les grands adolescents et les jeunes adultes engagés dans les fêtes nocturnes alcoolisées.
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