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Vous êtes ici : Accueil » Jeunes en errance » Travaux d’étudiants (du DEME à la thèse)
Cette recherche se fonde sur l’analyse de la vie quotidienne de femmes en errance à
Strasbourg- France. On utilise le concept d’« errance » car les autres concepts (sans-abris,
SDF, sans domicile, vagabonde, clochard) ne définissent pas le caractère de cette
recherche.
Les objectifs posés pour ce mémoire ont été de montrer les histoires de ces femmes,
décrire ce qu’elles font pendant leurs journées et comment elles vivent la situation
d’errance, comment elles regardent leurs vies et ce qu’elles pensent d’elles-mêmes. Des
entretiens semi-directifs, des observations et des rencontres « hors entretien » ont été
menés pour recueillir les informations nécessaires. En décrivant les journées de femmes
à la rue (alimentation, lieu de repos, santé et hygiène, violence, relations sexuelles et
affectives, socialisation, projets) on montre comment elles se débrouillant chaque jour
pour subvenir à ses besoins et leurs stratégies de survie. On considère que les voix
diverses de ses femmes sont importantes pour une connaissance plus approfondie et genré
de leur situation, et aussi pour une critique sur le regard que les « non errants » ont de ces
femmes, leurs histories nous montre comme la société réagit en face de la précarité.
Si le phénomène des jeunes adultes en errance n’est pas nouveau, il est observé en augmentation. Faits marquants aujourd’hui, l’allongement de la jeunesse dans le temps et la disparition des rituels de passage du statut de jeune à celui d’adulte, laissent les jeunes adultes entre 18 et 30 ans, dans un entre-deux âges, en quête de leur autonomie. Les parcours biographiques des jeunes adultes en errance cumulent différentes formes de ruptures et de pressions, familiales ou culturelles, qui occasionnent des risques d’exclusion. Alors que les jeunes adultes en errance ont une propension à vivre au jour le jour comment peuvent-ils envisager la construction d’un projet de vie ?
Accueillis au sein des structures sociales, ils seraient tentés de reproduire des mises en échec et de les justifier par l’affranchissement des contraintes sociales normées de la société. Entre les différentes temporalités, celles des jeunes adultes et celles des institutions,
il apparaît en effet que les travailleurs sociaux sont confrontés à la dissonance entre le projet de l’accompagnement social à visé projective et le projet du jeune qui vit l’instant présent. De fait, démunis face à des jeunes adultes en situation d’errance, méfiants et prompts à la rupture, comment restaurer la relation de confiance et les liens entre les professionnels et les jeunes ?
Une thèse qui articule psychanalyse et anthropologie contemporaine. Et la proposition du concept d’"errance essentielle", construite dans la structure même de la personne. L’auteur est psychologue dans une équipe mobile psychiatrie-précarité.
Pourquoi les jeunes en errance ne s’engagent-ils pas dans les offres classiques d’hébergement et d’habitat ? Comprendre cela nécessite de passer par leurs propres représentations de l’"habiter", très éloigné des représentations majoritaires et normatives. On peut alors en déduire des formes et des propositions alternatives qui peuvent correspondre à ce qu’ils sont.l’"habiter" chez les jeunes en errance ? Quelles
La prise en compte des TIC avec des jeunes en errance, en accueil de jour et en CHRS
Revue de la littérature existante sur le sujet
Les chiens de SDF sont globalement en bonne santé. Un examen comportemental montre également que, sauf exceptions, ils sont calmes, à l’écoute, sociables. Les item des deux examens conduits dans plusieurs villes et sur des dizaines de chiens sont détaillés.
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